Monday, June 27, 2016

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La Passion du Christ dans l'art Avec l'approche annuelle de la saison de Pâques, les chrétiens du monde entier se préparent à célébrer la résurrection du Christ. Les dévots sont souvent invités à réfléchir sur la pertinence de deux mille ans héritage de Jésus-Christ. L'un des aspects les plus salutaires, mais négligés de cet héritage est l'influence que la Bible a eu sur l'art occidental. Depuis plus de 400 ans, à partir du moment de Giotto à Rembrandt, la peinture occidentale est inconcevable sans la vision et les histoires contenues dans la Bible, en particulier dans les Evangiles. La Passion est donné ses premiers traitements véritablement complets dans la peinture dans les fresques de Giotto pour la Chapelle Arena à Padoue, et monumental Maest de Duccio di Buoninsegna. Les deux artistes illustrent les moments importants de l'histoire, comme tirée des quatre Evangiles et des histoires qui ont grandi autour de ces écrits bibliques. Bien que peu d'artistes ultérieurs (à l'exception remarquable de Dnewald, Bosch et Brueghel, Titien et Tintoret, Rubens et Rembrandt pour capturer le patronage des princes et des prélats de sorte que leur vision du christianisme pouvait dominer et endurer. La passion comme il est traditionnellement connu (du latin pour les souffrances) est l'histoire des derniers événements de la vie terrestre du Christ. Episodes et les détails sont tirés des quatre comptes séparés des Évangiles. Mais presque toutes les versions commencent par son entrée triomphale à Jérusalem quelques jours avant la Pâque où il est salué comme le messie par le peuple et conclure avec sa Crucifixion où il est moqué et méprisé quelques jours plus tard. Événements et les hommes se déplacent à une vitesse impitoyable, et une tragique nécessité inexorable semble être au travail. Jésus vient de voir ce qu'il doit accepter afin de racheter l'humanité pécheresse: la trahison, la calomnie, l'humiliation publique, la torture brutale, et l'abandon total. Chez les peuples méditerranéens anciens crucifixion a été considéré comme le moyen le plus honteux de torture et d'exécution réservés uniquement pour les pires criminels. En l'acceptant, le Christ montre le plus grand degré d'auto-sacrifice. Comme le christianisme est venu à dominer l'Occident, l'image une fois honteuse de la crucifixion est devenu le symbole central et distinctif pour la nouvelle religion. Alors que d'autres religions ont célébré l'invulnérabilité et la puissance de leurs dieux, l'Église centrée sur la vulnérabilité humaine et de la souffrance de Jésus, la fragilité même de la peau et les os sous le fouet et ongles du pouvoir. Seul parmi les religions du monde, le christianisme affiche un air de défi le corps mort perdu et tordu de Dieu dans ses plus lieux sacrés. Inévitablement, l'Église a fait usage de l'art de mettre des scènes de la Passion aux nombreuses personnes qui ne savaient pas lire. Lorsque le goût des représentations imaginatives de la Bible est devenue un appétit, l'Eglise a conclu qu'il avait à sa disposition l'un des moyens les plus puissants d'atteindre les émotions les plus profondes de ses membres. Laissez-nous esquissons brièvement les grands moments de la Passion, mettant en évidence les œuvres majeures de l'art occidental a provoqué: L'Entrée du Christ à Jérusalem Christ prépare à sa mort par circonscription un âne dans la ville de Jérusalem. En dépit de cette humble entrée, les gens qui ont entendu parler de ses miracles se déchaînent avec l'excitation et le saluent comme le Messie. Voir en particulier Duccio.




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